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Le livre de Job : le temps de l'épreuve

Le livre de Job : le temps de l'épreuve

Lorsque l'on évoque le livre de Job, on pense immédiatement au récit de la vie d'un homme livré à l'épreuve et la maladie. Rien ne lui est épargné. La mort de ses enfants, la perte de ses biens, la maladie, la réprobation de son épouse et les remontrances de ses amis. Fort heureusement, l'histoire finit bien et Job retrouve son ancienne prospérité après s'être entretenu avec le Très-Haut qui, au travers de cette épreuve, l'a conduit à Le connaître plus intimement. D'emblée, le récit nous présente deux tableaux différents, deux scènes dont l'une se passe quelque part en Syrie actuelle (au pays d'Uts, Job 1:1), et l'autre dans les cieux. Job est un homme riche, père de famille nombreuse et craignant Dieu, mais aussi un homme doté d'une réputation inattaquable d'intégrité et de droiture. Si le livre de Job est généralement considéré comme le plus ancien ouvrage de la Bible, celui-ci vécut très probablement au temps des Patriarches. Il partage d'ailleurs, avec Abraham son (probable) contemporain, une situation enviable, de grandes richesses et une solide réputation. Mais si, sur la terre des vivants, tout semble aller pour le mieux, dans le Ciel se joue une scène décisive qui va bouleverser sa vie. 

Droiture sans faille

À la lecture de l'introduction, une similitude apparaît entre le nombre de fils et de filles d'une part, et l'inventaire de son cheptel d'autre part. Sept fils, trois filles, sept mille brebis, trois mille chameaux… On peut voir, en effet, dans le dénombrement de son cheptel, un possible héritage destiné à ses fils, et une dot confortable prévue pour ses filles. Cette similitude manifeste peut-être quelque chose du caractère de cet homme. Il est équitable et il ne fait pas de favoritisme. Qualités qui vont de pair avec son caractère intègre et droit. En Égypte (et peut-être aussi ailleurs), l'expression "je donnerais bien un dromadaire (ou une chamelle) pour elle" est  encore d'usage dans le langage courant. Une façon un peu "cavalière" pour un homme de manifester son intérêt pour une représentante de la gent féminine à son référent masculin. Ainsi, l'énoncé de ses troupeaux dépeint un homme soucieux de constituer, pour chacun de ses enfants, un capital pour son avenir. Pour ses fils comme pour ses filles. Cet homme "juste et intègre" est aussi un bon père de famille. Un homme bien sous tous rapports. Pourtant, l'épreuve qui allait s'abattre sur lui allait révéler un aspect de sa personnalité. Il manquait, à cet homme intègre et droit, la conscience d'être pécheur par nature. Cette réalité était occultée à ses yeux par la pratique d'une justice sans faille. C'est à la suite d'un parcours long et douloureux qu'il prendra conscience de cette réalité sans laquelle sa foi ne pouvait être complète. 

Dans l'imaginaire collectif, le personnage de Job incarne une vie entière de souffrances et de maux, ce qui fut malheureusement le cas pour beaucoup d'êtres humains sur cette Terre, depuis l'aube de l'humanité. L'expression "pauvre comme Job" désignait d'ailleurs, autrefois, un état de misère extrême. Étant devenu la cible de Satan, celui-ci va tout perdre. Ses cheptels, ses enfants, l'affection de son épouse, et ce qui fut pour lui le plus éprouvant : la santé. Ses "amis", ayant eu connaissance de son épreuve, vinrent à lui pour le "consoler". Mais, devant une telle accumulation d'épreuves, ils finirent par conclure que Job devait avoir gravement péché pour être ainsi frappé par les coups du sort. Job tente de se disculper, mais en vain. 

Le temps de l'épreuve

Ce texte nous renvoie bien évidemment à notre propre conception de "l'épreuve". Sa nature, sa durée comme ses manifestations. Au cœur de celle-ci, le temps semble s'allonger considérablement. Après, cette notion se modifie à nouveau, et on peut considérer alors le temps écoulé comme fort différent de la façon dont on le concevait au cœur de l'épreuve. On peut donc s'interroger : combien de temps a duré celle de Job ? Quelle place celle-ci a-t-elle prise dans la vie de cet homme juste ? 

Une manœuvre habile

Changement de décor. La scène se déroule au Ciel. Les anges viennent se présenter au rapport. "Et vint l'accusateur (ha'sâtân) au milieu d'eux", nous dit le texte (Job 1:6). Le satân (l'adversaire, l'accusateur) se présenta parmi les "fils de Dieu". Il est intéressant de noter que c'est Dieu qui prend l'initiative de la conversation. "D'où viens-tu ?" Lui demande-t-il, tout en connaissant fort bien la réponse. Car la question pourrait être formulée également ainsi : "Je t'ai vu observer attentivement mon serviteur Job pour trouver en lui quelque chose à lui reprocher, alors vas-y ! Dis-moi à quoi tu penses !" 

Le satân, qui n'attendait que cette occasion, et fidèle à sa nature d'accusateur, remet alors en doute l'intégrité de ce serviteur de Dieu dont tout le monde reconnaît la probité. Le texte nous dit que Dieu s'adressa "à l'adversaire, à l'accusateur". Dans ce tribunal céleste, Dieu est le Juge, le satân est le Procureur et Job l'accusé. Et Dieu pose cette question au satân : "ha samètah libeka al avdi ?". Ce que l'on pourrait traduire par  : "As-tu placé ton cœur sur mon serviteur ?" (verset 8). Étrange question lorsque l'on connaît les prédispositions de cet "adversaire" ! Ce que Dieu lui demande,c'est : "Est-ce que tu as posé un regard juste et droit sur cet homme ?". Connaissant la "nature" du satân, cette question paraît presque inutile. En réalité, en la posant, Dieu démontre, d'emblée, que la démarche du satân n'est pas équitable. Dieu dit : "Je sais ce que tu penses, mais ton jugement est tronqué à cause des mauvais sentiments qui sont dans ton propre cœur". Il n'est donc pas en mesure d'attaquer Job.

Satan va donc tenter de le prendre en défaut, non en l'attaquant verbalement mais en incitant le Très-Haut à le mettre à l'épreuve. La stratégie du satân va être de chercher à prouver que Job n'est fidèle à son Dieu que parce qu'il est béni et protégé. Sa fidélité est purement conditionnelle. Au travers de Job, c'est Dieu lui-même que le satân cherche à atteindre. Satan reçoit alors l'autorisation de toucher à ses biens et à ses troupeaux. Le texte dit : "Tu l'entoures comme d'une haie" (comme celles que l'on mettait autour des troupeaux pour leur éviter de se disperser). L'argumentation du Satan met l'accent sur ses biens. Il ne s'attaque pas directement à Job mais à sa prospérité. Par cette phrase, le satân incitait le Très-Haut à lever sa protection sur ses cheptels. La protection est levée. L'épreuve peut commencer. La façon dont le satân va sortir de la présence de Dieu laisse entendre une certaine arrogance victorieuse. "L'Eternel dit à Satan : voici, tout ce qui lui appartient je te le livre, seulement, ne porte pas la main sur lui. Satan se retira de devant la face de l'Eternel" (Job 1:12). "L'œuvre de chacun sera manifestée (celle de Job et celle du satân) car le jour la fera connaître parce qu'elle se révèlera dans le feu et le feu éprouvera ce qu'est l'œuvre de chacun" (1 Corinthiens 3:13). 

Le tableau suivant se passe sur la Terre. 

Consommées et consumées

Le récit nous relate ensuite les mésaventures des enfants de Job et des nombreux troupeaux qui lui appartenaient (Job 1:13 à 19). Job avait "sept fils et trois filles" (Job 1:2) qui se livraient ensemble à de joyeuses festivités (Job 1:4). Les fils de Job étaient en train de manger (akal) et de boire lorsque le bâtiment s'effondra sur eux. Les troupeaux furent victimes de razzias de bandes armées qui tuèrent également les serviteurs de Job, excepté quelques rescapés qui vinrent lui annoncer le désastre. L'un d'eux attribuant la mort du cheptel au "feu de Dieu" (esh Elohim) qui le fit se "consumer" (akal). Le même terme est utilisé pour désigner à la fois les banquets organisés par les fils de Job et le fait que "le feu du ciel" ait consumé les troupeaux. Pour le serviteur qui vient en annoncer la nouvelle, cette tragédie est d'origine divine. De là à ce qu'il y ait vu un jugement divin…

On peut aussi y voir une maladie touchant les bêtes et les faisant mourir, agonisant comme frappées d'un feu intérieur. Mais peut-être que les fils de Job faisaient bonne chair de ces troupeaux abondants. Les banquets, auxquels étaient peut-être présents de nombreux convives, nécessitaient un grand nombre de bêtes rôties à la broche. Partout, tout autour de leurs maisons, brûlaient des feux où cuisaient nombre de ces grasses brebis. Ainsi était dilapidé l'héritage de ces fils "de bonne famille". À chaque festin, beaucoup de ces bêtes étaient abattues pour satisfaire l'appétit des convives. Il se peut que les serviteurs aient vu d'un mauvais œil toute cette viande gaspillée, cette consommation abusive du cheptel. Le désastre qui survint parut alors à leurs yeux comme un châtiment divin. "Je me suis échappé moi seul". Le seul à avoir préservé son intégrité et sa fidélité à son maître. Les autres auraient-ils été soudoyés, leur silence acheté contre quelques pièces de viandes ? Les enfants de Job*, tout comme le roi babylonien Belshatsar, mourront lors d'un festin (Job 1:18, 19 / Daniel 5:1, 30). 

Âme bien née n'est pas toujours de bons sentiments couronnée. Les grandes fortunes ne font pas les grandes âmes. C'est au travers de ses diverses épreuves que celle de Job sera pleinement révélée. 

*Les personnages de Job et de ses enfants a déjà été abordé, dans une approche plus contemporaine, dans les articles "Job, portrait d'un homme de notre temps" et "Les fils et les filles de Job : jeunesse d'hier et d'aujourd'hui". 

Au cœur de l'épreuve

Le déroulé de l'histoire présente une suite relativement rapprochée et soudaine d'événements malheureux (Job 1:13 à 19). Quelques temps plus tard, Job est frappé par la maladie (Job 2:7, 8).Il ignore bien évidemment qu'il est l'objet d'un débat qui se déroule dans les Cieux. Ses amis ayant eu vent de cette suite d'épreuves dont il était l'objet, se mirent en route "pour le consoler". Cela partait donc, à l'origine, d'un bon sentiment, mais les choses vont prendre une autre tournure. La suite du récit nous présente un ensemble de "discours", une longue conversation dont on ne trouve aucune trace d'interruption du chapitre 3 au chapitre 37. Suit l'intervention de Dieu lui-même aux chapitres 38 à 42 qui survient dans la continuité de leurs échanges, qui semblent bien s'être produits lors d'une seule et même journée. 

Un certain laps de temps s'est écoulé entre le début de son épreuve et le jour où ses amis arrivèrent chez lui. Il leur fallut parcourir la distance qui les séparait. Une fois sur place, il restèrent une semaine sans oser lui adresser la parole (Job 2:11 à 13). Nous avons donc une période d'épreuves survenant à la suite l'une de l'autre. Une période de temps indéfinie mais probablement relativement courte durant laquelle les amis de Job, ayant appris son épreuve, décident de se rendre chez lui. Une semaine pendant laquelle ses amis vont garder le silence. Une journée durant laquelle vont être échangés les avis des uns et des autres, et à la fin de ces échanges, l'intervention divine qui clôture ces débats. À la suite de quoi, "L'Eternel rétablit Job dans son premier état, quand Job eut prié pour ses amis, et l'Eternel lui accorda le double de ce qu'il avait possédé" (Job 42:10). Le rétablissement de Job, le recouvrement de sa santé et de ses biens est donc survenue très rapidement après cette journée si particulière. 

Ainsi, la période d'épreuves de Job, aussi terribles que celles-ci aient pu être, demeure cependant limitée dans le temps. Si l'on considère que ses amis se mirent en route rapidement après en  avoir eu connaissance, le récit de la vie de Job ne doit s'étendre que sur, tout au plus, quelques semaines. L'épreuve paraît toujours interminablement longue lorsqu'on la traverse. Elle peut effectivement s'étendre sur des périodes bien plus longues. Pour Job, elle fut particulièrement éprouvante, terrible et déconcertante, mais au regard de sa vie, elle fut cependant relativement courte. Le rédacteur du livre nous dit en effet que "Job vécut après cela cent quarante ans et il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu'à la quatrième génération. Et Job mourut âgé et rassasié de jours" (Job 42:16)

Qu'est-il advenu de son épouse qui l'avait incité à se révolter contre Dieu (Job 2:9) ? Après avoir eu dix enfants, on peut difficilement imaginer qu'elle eut encore "sept fils et trois filles" (Job 42:13). Il est donc probable qu'il s'est remarié avec une femme plus jeune dont il eut à nouveau dix autres enfants. Certains commentateurs, s'arrêtant sur la similitude de sa première et de sa seconde progéniture, imaginèrent que ses enfants n'avaient pas péri mais qu'ils avaient été kidnappés pour être ensuite rendus à leur père, mais l'auteur mentionne explicitement leur décès (Job 1:19), ce qui invalide totalement cette hypothèse. 

Ainsi, hormis la pénible épreuve que fut celle de Job, la vie de cet homme fut prospère et heureuse, recevant, dans la deuxième partie de sa vie, "plus de bénédictions qu'il n'en avait reçu dans la première" (Job 42:12). Peut-être est-ce ici une invitation à regarder la vie et ses épreuves avec une autre perspective en fixant les regards sur les bénédictions de Dieu plus que sur les épreuves qui peuvent nous frapper. Comme le dit lui-même Job : "Quoi ? Nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! En tout cela, Job ne pécha pas par ses lèvres" (Job 2:10).  

C'est donc un quinqua ou un sexagénaire dont ce livre de Job fait mention, et dont la vie se prolongea encore durant 140 années, accomplissant ainsi la parole qu'avait prononcée Eliphaz : "Tu entreras au sépulcre dans la vieillesse, comme on emporte une gerbe en son temps" (sous-entendu, quand la moisson est mûre, Job 5:26). Et comme le dit le livre des Proverbes : "Dans sa droite est une longue vie, dans sa gauche, la richesse et la gloire" (Proverbes 3:16). La durée de la vie de Job peut faire sourire. Il aurait ainsi vécu plus de 190 ans ce qui est bien plus que le plus âgé des doyens de l'humanité actuelle. Mais il faut tenir compte de l'époque à laquelle vécut Job, celles des Patriarches. Si le livre de Job est considéré comme le livre le plus ancien de la Bible, Job lui-même devait être contemporain d'Abraham qui vécut, lui, pas moins de 175 ans (Genèse 25:7). Son père n'engendra-t-il pas lui-même à l'âge respectable de "soixante-dix ans" (Genèse 11:26), prolongeant sa vie sur terre jusqu'à l'âge de deux cents cinq ans (Genèse 11:32) ? La longévité de ce personnage biblique correspond à la durée de vie des Patriarches de son époque. Très loin d'atteindre celle de ses prédécesseurs tels que Noé (950 ans) ou Sem (600 ans).  Si l'on tient compte de la généalogie des Patriarches postdiluviens mentionnée en Genèse 11, on peut voir qu'Abram fut contemporain de Noé, de Sem, ainsi que de tous les Patriarches, jusqu'à ce qu'il ait atteint l'âge de 59 ans (les généalogies et le tableau des Patriarches est présenté en détail dans l'article sur Noé, sur ce blog). Il est donc fort probable que Job ait également été le contemporain de ceux-ci. Les discours de ses "amis" laissent également supposer que nous avons là des hommes d'âge mûr, sauf Elihu qui est plus jeune puisqu'il reconnaît lui-même qu'Eliphaz et Bildad sont "plus âgés que lui" (Job 32:4). Il se peut donc que les enfants de Job étaient de la même génération qu'Elihu. 

Un message universel

Le livre de Job appartient à cette littérature biblique dite "sapientielle" avec les livres des Psaumes, Proverbes, l'Ecclésiaste et le Cantique des Cantiques, voulant enseigner une certaine forme de sagesse basée sur l'expérience et l'exercice de la foi. La construction du récit a laissé supposer, à la Critique biblique, que son historicité était fort contestable et que ce livre était une pure invention de son auteur. Dans son épître, l'apôtre Jacques, le frère du Seigneur, atteste cependant de l'historicité du récit de la vie de Job, mentionnant l'intervention de Dieu dans sa vie. Il écrit : "Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment, vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda, car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion" (Jacques 5:11). L'apôtre Jacques aurait-il mêlé le Seigneur au récit d'un mythe ? Certainement pas ! Déjà, le prophète Ézéchiel avait mentionné Job dans l'un de ses messages, citant les paroles du Seigneur qui l'associe à Noé et au prophète Daniel (Ézéchiel 14:14, 20). L'apôtre Paul nous rappelle, quant à lui, que "toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, convaincre, corriger et instruire" (2 Timothée 3:16). Le livre de Job étant intégré dans les "Écritures", il entre automatiquement dans cette catégorie. De plus, selon ces mêmes Écritures, un fait est avéré exact sur "le témoignage de deux ou trois témoins" (Deutéronome 19:15 / Matthieu 18:16). L'historicité du personnage de Job est donc attestée à la fois par le prophète Ézéchiel, les apôtres Paul et Jacques, et le Seigneur lui-même. Au vu de la qualité de ceux qui attestent de l'historicité du récit de la vie de Job, celle-ci est donc indiscutable. Job est donné en exemple par Dieu lui-même, par l'intermédiaire du prophète Ezéchiel, comme étant un homme juste, un "Tsadiq" au même titre que Noé et Daniel, et l'apôtre Jacques le présente comme un exemple de patience dans l'épreuve. En cela, ce livre délivre un message universel.

Au cœur de son épreuve, Job est consterné. Il ne comprends pas. Lorsque Dieu intervient, il lui donne une "leçon de choses", et Job est confondu. Son être intérieur s'en trouve transformé. Quel regard Job a-t-il posé sur son épreuve, après en être sorti ? Les années passant, la perspective de cette période de sa vie pouvait prendre une autre apparence, une autre dimension. À chaque période de l'existence, le livre de Job peut parler différemment à son lecteur. Bien qu'il soit le plus ancien livre de la Bible, il demeure toujours d'une brûlante actualité. Mais Dieu demeure le même. Il ne change pas. À circonstances identiques, le message qu'Il nous adresse ne le serait-il pas aussi ? 

 

JiDé

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